Archives de l’auteur : Bruno

Fabrication d’un coffre banc mobile

Le besoin : 

 – du rangement invisible (machine à coudre, tissus…)

 – assises d’appoint quand on reçoit, sans avoir à gérer le stockage à la cave.

Solution : 

Coffre / banc à roulette.

Solution technique : 

j’ai choisi de le faire en médium pour la finition peinte. J’ai fait découper 6 planches à Leroy Merlin (d’ailleurs, j’y ai croisé le pere noël. Figurez vous qu’il avait oublié de me donner un cadeau ! C’est chose faite : une superbe visseuse Métabo). Pour les roulettes, j’ai choisi un diamètre assez grand (8cm) pour passer les petits obstacles et ne pas marquer le parquet.

Assemble en 1h30 (facile quand tout est découpé pile à la longueur. J’ai juste eu à ajuster une planche en longueur avec une fraise à recopier à la défonceuse.

En image : 


Là, ça ressemble un peu à un cercueil…


J’ai évidement réutilisé le matériel acheté pour la cuisine. C’est du coup facile d’assembler deux planches à l’équerre.


Mise en place du couvercle


Test de charge : ça tient.

Mise à jour : 


Une photo avec le sourire !


les roulettes


Les roulettes 2ème !

La peinture, c’est pour la prochaine fois

Véranda : Plombier chauffagiste : pose du plancher chauffant

Une véranda ou verrière est très sensible au différence de température extérieure, mais aussi à l’apport du soleil. Elles sont même dans certains cas utilisée comme source de chaleur.

Dans mon cas, je ne crains pas trop la surchauffe solaire de part mon orientation (est – nord/est) et la protection du sud par un grand mur.

Voici deux projections, en mars au levé du soleil (là, on parle plus de lumière que de chaleur) et en juin, à 14h (et je pense que cette projection est optimiste).

Si je ne crains pas la surchauffe, je crains plutôt la sous chauffe. J’ai donc bien étudié les différents moyens de chauffage : 

  • radiateur (électrique, eau)
  • plancher chauffant (électrique, eau)
  • système réversible, type pompe à chaleur avec de l’air soufflé
  • poêle à bois
On a tout de suite abandonné le poêle à bois, certes, très fun, mais non adapté à une véranda car radiant : http://www.maisonbrico.com/index.phtml?srub=123&iart=3943

Je suis tombé sur cette discussion (http://forums.futura-sciences.com/bricolage-decoration/257340-plancher-chauffant-veranda.html) qui m’a renforcé dans l’idée que le chauffage au sol permettait d’apporter de l’inertie à une pièce qui en manquait… Après plusieurs devis, je suis tombé d’accord avec un installateur local qui proposait pas mal de documentation et qui semblait bien connaitre son domaine (pour tout vous dire, j’ai failli l’installer seul…j’ai bien fait de rester calme)

Je suis déjà équipé d’une chaudière au gaz qui se retrouve un peu sur-dimensionnée (avec tous les travaux d’isolation que l’on fait.), l’idée de la faire bosser pour chauffer la véranda m’a plu. 

Le principe est donc de faire circuler de l’eau à 30° dans un circuit « fermé » dans la chape de la véranda. Dès que l’eau n’est plus assez chaude, une vanne trois voies s’ouvre et faire rentrer des calories dans le circuit. C’est réglable de partout (de débit, la température…).


La machinerie

la température au départ (rouge) et au retour (bleu) : on est donc dans une phase de chauffe.

Une fois la chape coulée (prochain article), nous avons mis en chauffe : voici une étude des températures : 
en vert, c’est la température à un mètre du sol et en rouge à 3m40.
Le premier pic, c’est l’installation. Le plombier a fait tourner un peu fort, ensuite, on a fait une mise en chauffe progressive entre le 1er décembre et 15 décembre. 
On a tout coupé le 1er janvier pour la pose du carrelage. et 48h après, on a rallumé.
Le 20 janvier, j’ai viré un des thermomètres pour le placer devant la porte de la cave, d’où les basses températures.
On peut constater qu’il n’y a jamais plus d’un degré de différence entre la température à 1m et celle tout en haut. C’est pour moi, une preuve de la qualité de ce mode de chauffage.

Problème de performance IIS6 – IIS7 paramètre debug

Ce billet est quelque peu technique, âmes sensibles, vous êtes prévenues. 

Suite à la migration d’un serveur Windows 2003 / IIS6 vers un Windows 2008 / IIS7, nous avons eu un soucis de performance.

Nous avons utilisé l’utilitaire MSDeploy (http://www.iis.net/download/webdeploy) qui permet de faire une sauvegarde de la configuration IIS6 (la source) et une restauration sur un IIS7 (la cible).

Une fois mis en place et ouvert aux utilisateurs, les performances se sont révélées exécrables, alors que tous nos tests étaient concluants… Le problème venait d’un paramètre qui ne s’exprime pas de la même façon sur le IIS6 et le IIS7. Le mode débug.

Sur IIS6, aucune limitation alors que sur IIS7, ce mode activé a pour effet de limiter l’exécution du processus w3wp.exe à un seul thread par pool d’application. L’effet est assez déroutant, on a un serveur qui ronronne, RAM : ok, proc : ok, réseau : ok. mais les temps d’exécution sont hyper longs cas ils sont mis en file d’attente.


interface sous IIS6


interface sous IIS7

L’effet sur le serveur : debug activé

Débug désactivé : 

Une des pistes a été trouvée dans cet article : http://support.microsoft.com/kb/316451

« la cause classique est que le débogage de script ASP est activée. Lorsque le débogage est activé, seul thread de travail ASP est disponible pour traiter les demandes entrantes pour les pages ASP » ou en anglais : « When debugging is enabled, only one ASP worker thread is available to process the incoming requests for ASP pages. »