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Réalisation d’un mur-placard

La porte entre la cuisine et le salon a donc été condamnée et a permis la création d’une niche technique.

Coté cuisine, j’ai décidé d’utiliser l’espace en réalisant un mur placard dans les buts suivants : 

  • augmenter la capacité de rangement de la cuisine
  • donner accès aux affaires du petit déjeuner aux enfants (et oui, on a la chance d’avoir des enfants qui préparent le petit déj le matin, le bloquons pas les bonnes initiatives !)
  • améliorer l’accessibilité des bols en faisant un placard de faible profondeur
  • masquer l’arrière de la niche
  • remettre d’équerre le mur de la cuisine
  • proposer un calendrier perpétuel en tableau noir

J’en ai profité aussi pour passer un câble ethernet entre mon bureau (la freebox server) et la niche technique (la freebox player, la TV ethernet et le switch du salon). Maintenant, je suis en Gigabit, je n’ai plus de saccade dans les films. En effet, j’ai découvert que le disque dur est dans la freebox serveur et non dans la freebox player. mais ça, c’est une autre histoire !

Donc, en image : 

Mon caddie chez Leroy Merlin

Montage de la structure avec Erwan et un vrai marteau : attention les oreilles

Mise en situation des bols et boîtes de chocolat du matin

Montage des premières portes (test)

Passage du cable ethernet

Découpage des étagères qui n’ont de droit que la face avant !

Un coup de peinture pour faire net

Petit tour chez Foussier pour les charnières et les Tip-on (ce sont les ressorts permettant de ne pas mettre de poignée).

Préparation des 10 portes pour la peinture et pour la quincaillerie



une couche d’apprêt sur chaque face puis deux couches de peinture par face 

et en vidéo : 

Reste à dessiner le calendrier perpétuel…

Finalisation du tour à potier

En février 2007, j’ai commencé mon tour à potier par une phase de R&D : maîtriser le variateur de fréquence pour alimenter un moteur 380V… Grâce au forum cyberbricoleur et à de la documentation, il tournait, mais sans la variation de fréquence.

Cet été, j’ai remis un coup.

Le variateur : 

Mon atelier de vacances, pour le plus grand plaisir de mon père qui a un bon mois de rangement après un we de bricole…

Voici le branchement définitif avec le bon potentiomètre, sinon, ça ne marche pas ! On voit sur la gauche un inverseur permettant de faire tourner le moteur dans un sens ou dans l’autre.

Et l’acteur principal, le moto réducteur :

Ça c’est une pédale que j’ai trouvée dans la rue. Je pensais pouvoir m’en servir, mais quand je l’ai montrée au gars de électronique loisir, il m’a dit « un tour à potier, c’est pas avec de l’électricité et de l’eau ? Vous voulez rester collé ? »

J’ai récupéré un carter de tour à bois un peu comme celui ci, mais en moins bien. Vous ne pouvez pas imaginer ce que j’aide mon père à faire du tri et du vide dans son atelier !

j’ai donc modifié les deux montants verticaux pour les faire devenir mes couples horizontaux :

Une fois soudé à l’arc.

Je suis aidé par mon « petit » cousin.

j’ai soudé une barre de renfort pour soutenir le moteur et je lui ai préparé sa platine de fixation.

Premier montage (avant peinture !)

Préparation des planches pour fermer le carter.

Préparation d’une plaque pour fixer le potentiomètre et l’inverseur.

Dans la partie basse, on voit la plaque de fixation du variateur d’intensité :

suspension pour peinture

Fixation du moteur

branchement électrique

le variateur et l’inverseur

Le disjoncteur électrique

L’axe et la girelle

On distingue le variateur 

Il me reste à fixer une planche PVC sous la girelle et c’est terminé. (il me reste aussi à trouver le temps de faire de la poterie…)

J’ai pesé la bête toute montée ; 50 Kg tout rond !

Mise en place d’un mur de bambous

Après avoir désouché le laurier du bout de mon jardin, j’ai entrepris deux chantiers : 

  • tamiser l’ensemble de mon jardin parce que j’en ai marre des cailloux
  • planter un mur de bambous au fond du jardin pour avoir de la verdure et éviter un vis à vis.

Pour le tamisage, j’ai fabriqué un tamis : voir l’article qui lui est dédié.

J’ai filtré l’équivalent de 4 quatre seaux de cette taille (80l)

Voici la blessure laissée par le combat. On distingue les bambous sur la gauche.

On distingue bien sur cette vue l’électricité et l’eau

Stand de tamisage : j’y ai passé un certain temps…

Les bambous étaient dans un seau, impossible à soulever, je l’ai donc éventré.

Ensuite, je l’ai démotté. On aperçoit sur cette photo la réparation du mur. Le laurier, c’est de la saloperie !

Le voici placé en face de la fenêtre à cacher

Mise en place d’une barrière à rhizome. C’est un tissu résiné hyper solide que j’ai trouvé dans une jardinerie.

Je l’ai agrafé sur une barre en bois qui affleure la terre.

En parallèle, j’ai bien étalé ma terre et passé le rouleau une bonne vingtaine de fois. Heureusement que je n’ai que 60m² de jardin !

Fixation de la prise électrique le long du mur

Mon herbe au retour des vacances, merci le temps pluvieux.

Après la première tonte

Après un mois d’utilisation… Les restes de branches et les cailloux sont virés

Au pied du bambou, j’ai installé un spot enterré. C’est super la nuit et aucun risque avec les sangliers !

Un zoom sur l’électricité et le robinet d’eau que j’ai fait ressortir avec un tube en galva.

Reste donc à attendre que les bambous remplissent la zone.