Après avoir désouché le laurier du bout de mon jardin, j’ai entrepris deux chantiers :
- tamiser l’ensemble de mon jardin parce que j’en ai marre des cailloux
- planter un mur de bambous au fond du jardin pour avoir de la verdure et éviter un vis à vis.
Pour le tamisage, j’ai fabriqué un tamis : voir l’article qui lui est dédié.
J’ai filtré l’équivalent de 4 quatre seaux de cette taille (80l)
Voici la blessure laissée par le combat. On distingue les bambous sur la gauche.
On distingue bien sur cette vue l’électricité et l’eau
Stand de tamisage : j’y ai passé un certain temps…
Les bambous étaient dans un seau, impossible à soulever, je l’ai donc éventré.
Ensuite, je l’ai démotté. On aperçoit sur cette photo la réparation du mur. Le laurier, c’est de la saloperie !
Le voici placé en face de la fenêtre à cacher
Mise en place d’une barrière à rhizome. C’est un tissu résiné hyper solide que j’ai trouvé dans une jardinerie.
Je l’ai agrafé sur une barre en bois qui affleure la terre.
En parallèle, j’ai bien étalé ma terre et passé le rouleau une bonne vingtaine de fois. Heureusement que je n’ai que 60m² de jardin !
Fixation de la prise électrique le long du mur
Mon herbe au retour des vacances, merci le temps pluvieux.
Après la première tonte
Après un mois d’utilisation… Les restes de branches et les cailloux sont virés
Au pied du bambou, j’ai installé un spot enterré. C’est super la nuit et aucun risque avec les sangliers !
Un zoom sur l’électricité et le robinet d’eau que j’ai fait ressortir avec un tube en galva.
Reste donc à attendre que les bambous remplissent la zone.
Je viens de visiter votre site internet (et pas que cet article) et je suis ravi par la qualité des réalisations que vous proposez. Où en sont vos bambous, ont-ils complétés le mur ? Je me souviens d’un batiment parisien où l’intérieur est rempli de bambous, c’est vraiment joli. Encore félicitations !
Merci.
Les bambous poussent surtout au printemps. Je mettrai une photo en mai.